6 mai 2010
Puisque...
Je vais chez elle, parce que j' aime la douceur et la force de ses photos. Ses "petits riens" me touchent. J' admire son talent de tricoteuse. Et ses petits mots de japonais m' amusent.
Je ne la connais pas plus que ce que je lis dans à travers ses photos et ses mots.
Je connais aussi la peine et le chagrin qui sont les siens depuis un an.
Elle ne connait pas mon blog. Elle ne passera surement pas par ici. Mais je voulais le faire pour elle...
On continue seulement
On dort moins bien
On écoute patiemment
les bruits de la maison
Du dehors l' effondrement.... jean philippe Djian
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M